18 Juillet 2017
Corollaire à mon article précédent
Ou pour en finir avec l'engouement homosexuel
Si nous acceptons cette base de devoir vital de reproduction de tout groupe humain il est évident que pour toute société les homosexuels manquent à ce devoir essentiel qu'elles qu'en soient leurs raisons. L'acception de cette abstention par les églises et les états et sa reconnaissance comme un droit est une absurdité presque suicidaire.
Par contre, j'ai toujours considérer la mise à l'index ou la persécution d'individus pour leurs gouts sexuels comme une entorse brutale à la liberté, à l'intégrité, aux droits de l'homme. Il n'appartient à personne le droit d'imposer sa façon d'aimer à un autre tant que celui-ci respecte les choix d'autrui. Ce choix est personnel et ne qualifie ou ne disqualifie en rien.
C'est là que le bat me blesse dans la mode actuelle. Du mépris on passe à l'adulation aussi absurde l'un que l'autre. En renversant les tabous on ne les a pas abolis. Je lis dans les titres d'un quotidien un article sur un docteur servant dans une unité d'élite sur le même plan on me vante ses qualités de dévouement, professionnelles, le fait qu'elle soit une femme et surtout qu'elle soit lesbienne. En quoi le fait qu'elle soit lesbienne (choix personnel) influe-t-elle sur sa réussite? Ou bien faut-il croire qu'il faut être lesbienne pour les acquérir?
On en arrive à une discrimination renversée et l'on nous annonce comme une victoire toute sortie de" l'armoire". Les préférences sexuelles se transforment en coteries voire en partis politiques, on en brandit les drapeaux. Bientôt cela fera partie des questionnaires de demande d'emplois. Déjà avoir un ami ou une amie du même sexe vous suppose des rapports sexuels, annulant l'un des plus beaux concepts celui de l'Amitié spirituelle